lundi 7 mars 2016

Approches diverses...

Des discussions intéressantes entendues...

...Dans les HLM de X, les gens sont plus préoccupés par les problèmes sociaux rencontrés que par les bouleversements climatiques...

- Indéniable, et la question est d'écouter, de chercher des solutions et non d'utiliser la menace climatique pour faire peur...

- Cela étant, force est de constater que ce sont les populations les plus pauvres de la planète qui sont le plus exposées, tant aux phénomènes paroxystiques qu'à la montée des eaux ou à la désertification...

- La peur n'incite pas à l'action, mais plutôt au repli et à l'acceptation de l'inacceptable... Tout à fait  -d'où la nécessité d'anticiper, de prévoir, de prendre - tant qu'il en est peut-être encore temps - les mesures nécessaires...

La nécessité aussi de penser réorganisation de l'habitat et développement des services publics - et de prévoir, assez tôt,  l'accueil de flux grossissants de réfugiés climatiques...

En même temps se pose également la question de la transition énergétique, de certains changements nécessaires dans les modes de vie... La reforestation, une reforestation diversifiée,  tant ici que dans de vastes régions de l'Amérique du Sud, ou d'ailleurs, vitale, prendra du temps. 

D'où la nécessité, de connaître et faire connaître pour que l'opinion publique impose en tous pays, les mesures préventives indispensables - en commençant par les zones les plus fragiles - pour prendre ensemble les  mesures de prévention les plus urgentes...

Il ne s'agit pas de faire peur mais au contraire d'informer assez pour que les populations puissent imposer les mesures de précaution et d'anticipation nécessaires  pour que se puisse éviter le pire... Pour aussi, qu'une certaine équité économique, sociale et culturelle, progresse sur cette planète.

L'information et la formation n'ont jamais alimenté les peurs ; les grandes peurs se sont toujours nourries de l'analphabétisme et de la misère...

Un élément à prendre en compte quand se multiplient les attaques contre le social et le culturel.

Une des raisons pour lesquelles nous avons  souhaité l'intervention d'un spécialiste pour, cette année, une intervention générale, grand public, et, l'an prochain, une intervention un peu plus spécialisée.





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